


Adagio
Tard dans la nuit, la bougie vacillait tandis que Li Qingzhao écrivait: "Seule et solitaire, morne et amère,
En proie à de mornes pensées, tu m'as lamentablement manqué." À qui écrivait-elle ? À son mari disparu, Zhao Mingcheng ? Ou au passé qu'elle n'a jamais pu retrouver ? Pendant ses années d'exil, la poésie est devenue ses lettres, envoyées à un foyer qu'elle n'a jamais pu atteindre. Elle se souvient de sa jeunesse : "Je me souviens du coucher de soleil au bord du ruisseau, / trop ivre pour retrouver mon chemin." À l'époque, elle s'était perdue dans le clair de lune, sans jamais imaginer qu'un jour elle marcherait seule sous ce clair.
Tard dans la nuit, la bougie vacillait tandis que Li Qingzhao écrivait: "Seule et solitaire, morne et amère,
En proie à de mornes pensées, tu m'as lamentablement manqué." À qui écrivait-elle ? À son mari disparu, Zhao Mingcheng ? Ou au passé qu'elle n'a jamais pu retrouver ? Pendant ses années d'exil, la poésie est devenue ses lettres, envoyées à un foyer qu'elle n'a jamais pu atteindre. Elle se souvient de sa jeunesse : "Je me souviens du coucher de soleil au bord du ruisseau, / trop ivre pour retrouver mon chemin." À l'époque, elle s'était perdue dans le clair de lune, sans jamais imaginer qu'un jour elle marcherait seule sous ce clair.
Tard dans la nuit, la bougie vacillait tandis que Li Qingzhao écrivait: "Seule et solitaire, morne et amère,
En proie à de mornes pensées, tu m'as lamentablement manqué." À qui écrivait-elle ? À son mari disparu, Zhao Mingcheng ? Ou au passé qu'elle n'a jamais pu retrouver ? Pendant ses années d'exil, la poésie est devenue ses lettres, envoyées à un foyer qu'elle n'a jamais pu atteindre. Elle se souvient de sa jeunesse : "Je me souviens du coucher de soleil au bord du ruisseau, / trop ivre pour retrouver mon chemin." À l'époque, elle s'était perdue dans le clair de lune, sans jamais imaginer qu'un jour elle marcherait seule sous ce clair.